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L'Hydrate de méthane

Afin de découvrir si l'hydrate de méthane est une énergie qui peut potentiellement supplanter les énergies fossiles actuelles, nous nous sommes tout d'abord intéresser aux hydrates de méthane eux-mêmes. Cette première partie sera divisé en trois. Tout d'abord, nous étudierons leur composition et leur structure afin de connaître d'où vient ce potentiel énergétique. Ensuite, nous descendrons d'un étage pour déterminer leur formation. Ainsi, nous sommes toujours partis du méthane pour ensuite dériver sur l'hydrate de méthane car c'est ce gaz qui est à l'origine de la conception des hydrates et qui est intéressant à exploiter. Enfin, nous finirons sur la localisation et la quantité d'hydrate de méthane sur notre planète. 

Composition et structure

 

Le méthane est une molécule chimique de la famille des alcanes. Les alcanes sont des hydrocarbures saturés composés uniquement de carbone (C) et d’hydrogène (H) attachés à l’aide de liaisons simples seulement. Chaque atome est relié par le maximum de liaisons, d’où la saturation. Ainsi le carbone en a quatre et l’hydrogène une. Les molécules non-cycliques de la famille des alcanes  ont pour formule brute CnH2n+2 où n est un entier naturel non nul.

Formation

 

Nous connaissons maintenant la structure de l’hydrate de méthane. Cependant, comment se forme cette molécule ? Quelles sont les conditions nécessaires à sa formation ?
Le méthane se forme à partir de la décomposition de matières organiques  provenant de restes animaux ou végétaux accumulés dans des couches de sédiments. Ces transformations ne sont possibles que dans des endroits privés d’oxygène de l’air, c’est-à-dire sous la terre ou sous l’eau.

Localisation et quantité 


Il existe une multitude de cartes présentant la localisation de l’hydrate de méthane sur la planète. Pour les créer, les géographes ont tout d’abord procédés par élimination. En effet, quels sont les endroits où l’hydrate de méthane ne peut pas être présent ? Ce sont les endroits où la pression est trop faible, c’est-à-dire les eaux peu profondes et une grande majorité des plateaux continentaux.
De plus, grâce aux méthodes sismiques, les géographes arrivent à savoir si les sols enferment des réserves.

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